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Pendant des siècles, l’Histoire officielle a échafaudé avec une ferveur et une imagination des plus fertiles des récits et des évènements en particulier dans le domaine des sciences. L’Eglise plaça au sommet de son art le plagiat et la tautologie de la littérature musulmane. Ainsi, le règne des copistes traducteurs donna naissance des générations d’auteurs qui s’usurpèrent, en version latine et grecque, les œuvres des savants musulmans qui, depuis le VIIIe siècle, devint une institution méthodique d’acquisition, de plagiat, de compilation, de commentaire, d’imitation, de travestissement.
Pendant des siècles, l’Histoire officielle a échafaudé avec une ferveur et une imagination des plus fertiles des récits et des évènements en particulier dans le domaine des sciences. L’Eglise plaça au sommet de son art le plagiat et la tautologie de la littérature musulmane. Ainsi, le règne des copistes traducteurs donna naissance des générations d’auteurs qui s’usurpèrent, en version latine et grecque, les œuvres des savants musulmans qui, depuis le VIIIe siècle, devint une institution méthodique d’acquisition, de plagiat, de compilation, de commentaire, d’imitation, de travestissement.
Bien entendu, ce travail titanesque fût occulté sous le patronyme des plagiaires pour être adapté en vue d’une politique contre-culturelle et contre-civilisationnelle. L’église et son orthodoxie « historique » s’active avec frénésie à user du latin et du grec comme pierre angulaire de l’instruction et de la culture de l’infidèle : c’est l’avènement de l’hellénisation … et l’imagination a fait le reste.
L’Histoire Orthodoxe, afin de pérenniser son autorité, est enjolivée pendant des siècles et voit son âge d’or à la Renaissance et au siècle des Lumières pour finalement se fixer comme institution contemporaine. L’objectif principal de toute cette mise en scène est d’élaborer une continuité scientifique et socioculturelle entre l’Antiquité gréco-romaine et l’Occident chrétien, et on se presse, pour l’occasion d’inventer de mythiques savants et œuvres séculaires.
Ce livre rend hommage non seulement à la valeur et à la richesse des grands esprits qui offrirent leurs œuvres comme héritage à l’Occident, mais également de dénoncer la systématique mise à l’écart de leurs legs et de leur personne.
Fiche technique
Basé sur 1 avis
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Pendant des siècles, l’Histoire officielle a échafaudé avec une ferveur et une imagination des plus fertiles des récits et des évènements en particulier dans le domaine des sciences. L’Eglise plaça au sommet de son art le plagiat et la tautologie de la littérature musulmane. Ainsi, le règne des copistes traducteurs donna naissance des générations d’auteurs qui s’usurpèrent, en version latine et grecque, les œuvres des savants musulmans qui, depuis le VIIIe siècle, devint une institution méthodique d’acquisition, de plagiat, de compilation, de commentaire, d’imitation, de travestissement.
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